La rééletivité de Paul BIYA le 12 octobre prochain, n’est qu’une évidence pour tout observateur averti de la scène politique camerounaise. Ce postulat indéniable, consacre la vision Biyaïste de continuer à travailler sans relâche pour rendre au Peuple Camerounais sa « Grandeur » et lui garantir son « espérance ».
Paul Biya à Maroua
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Présidentielle du 12 octobre prochain : chronique d’une défaite annoncée de l’opposition

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La rééletivité de Paul BIYA le 12 octobre prochain, n’est qu’une évidence pour tout observateur averti de la scène politique camerounaise. Ce postulat indéniable, consacre la vision Biyaïste de continuer à travailler sans relâche pour rendre au Peuple Camerounais sa « Grandeur » et lui garantir son « espérance ». Autrement dit, c’est le paradigme Biyaiste qui occupe le peloton de tête de la campagne électorale pour l’échéance sus-évoquée, en termes de capacités organisationnelles, cognitives, symboliques [une campagne menée tambours battants dans les coins et recoins du pays] et dont les effets directs ou indirects créent de l’imbroglio au sein de l’opposition [impossible coalition et discours ambivalents]. D’innombrables faits témoignent de cette scénographie politico-électoraliste :

  •     La feinte neutralo-coalitive abstruse de Maurice Kamto :

Opposant politique légalement écarté du processus électoralo-présidentiel,  controversé par son imprévisibilité ouvertement affichée et ses entrevues politiques étonnantes, marquées par un interventionnisme cybersphère velléitaire, jactant,  spontané et impulsif, Maurice Kamto affiche une profonde mélancolie politique et un pragmatisme politique subreptice, adossés sur une neutralité subjective oppositionnelle anti-Biya [ sa consigne de vote aux militants du MRC de voter librement le candidat de l’opposition de leur choix]. Cet amphigouri grandiloquent et calembredaine offre implicitement de nouvelles perspectives pour décrypter la substance politique et idéologique de Maurice Kamto par rapport aux péripéties d’une coalition oppositionnelle obscurantiste qui patauge en pleine campagne électorale [difficile coalition entre Bello Bouba Maigari de l’UNDP, Patricia Ndam Njoya de l’UDC, etc]. Cette posture de Maurice Kamto s’inscrirait donc dans une pertinence phénoménologique : Paul Biya reste et demeure une référence consubstantielle au Peuple Camerounais et les enjeux de sa réélection sont élevés qu’ils défient certains pronostics oppositionnels. La démarche politique de Kamto bien que spécieuse et dénuée de toute expectative [surtout qu’il ne souhaite pas être associé à une défaite certaine d’un quelconque candidat de l’opposition, pourtant se prévale le statut de principal et puissant opposant au régime. Quel paradoxe !] se veut compréhensive et interprétative des enjeux victorieux inéluctables de Paul Biya à cette élection.

  •     Issa Tchiroma Bakary : politicien madré et hâbleur à la réputation morale infamante :

Une explosion de commentaires et de contestations les plus virulentes sur les flambées plébéiennes du candidat du FSNC, le populiste [ s’adressant généralement aux badauds et clandestins non électeurs pour préparer dolosivement l’opinion nationale et internationale à une éventuelle pseudo-victoire]  Issa Tchiroma Bakary sont perceptibles dans sa chrestomathie discursive pré-électorale : apologie du sécessionnisme et du terrorisme, diabolisation du régime Biya, injures et goujateries contre l’institution et la bureaucratie présidentielles, etc. [les mêmes prétentions outrées anti-régimes qui caractérisent le candidat populiste Cabral Libii].  Et conséquemment, la politique de Tchiroma est bâtie autour d’un continuum oppositionnel axé sur certaines tendances lourdes, sources éternelles prospectivistes de souffrances populaires et de catastrophes sanglantes : nombrilisme, médiocrité politique, populisme, vulgarité, clandestinité et opportunisme. Autant de signaux empreints de satanisme et d’exaltation paroxysmique de la négativité politique et du terrorisme qui, ontologiquement, drainent la méfiance ou l’hostilité dont fait l’objet la candidature d’Issa Tchiroma Bakary [son apologie du terrorisme dans le NOSO ayant provoqué l’ire du Ministre Paul Tassong et l’ensemble de la communauté anglophone victime des assauts armés sporadiques des terroristes sécessionnistes depuis 09 ans]. Cette rhétorique stato/socio- épidictique qui lui est chère, s’inscrirait de ce fait dans sa démarche politico-doctrinale de végétation de la jeunesse [celle du Grand Nord en particulier, bien qu’ayant occupé le portefeuille de l’Emploi et de la Formation Professionnelle pendant 06 ans (2019-2025)] et d’opportunisme politique [bohème, vagabond, sans scrupule, moralité infamante]. Avec un regard décalé et compte tenu de l’entrelacs des déductions fondées sur les intentionnalités difficiles à cerner de ce candidat, la prudence politique [surtout que sa stratégie s’inscrit dans l’exhibitionnisme d’une pseudo-popularité dans l’optique d’une victimisation post-électorale. A l’instar de ce que fit Maurice Kamto en 2018] s’impose dans le choix de ce dernier le 12 octobre prochain.

  •     Jeu et enjeu de l’élection du 12 octobre prochain : lampadédromies victorieuses en faveur de Paul Biya :

Contrairement à une certaine infodémie mobilisatitrice autour de l’incapacité gouvernante du candidat du RDPC [machine de guerre politique irrésistible et redoutable], Paul Biya, il est frappant de constater que « l’Homme Lion », le « Nnom Ngui » ou le « Fon des Fons » ne cesse de contrarier ses détracteurs, en confirmant la thèse selon laquelle l’âge ne peut être un marqueur universel du vieillissement et que la vieillesse n’est qu’une notion socialement construite. A observer Paul Biya dans ses 92 ans se mouvoir avec ardeur et vigueur sur la scène politique nationale et présider avec sagacité ses meetings de campagne électorale, montrant son autonomie physique et psychologique ainsi que sa bonne adaptation socio-professionnelle, entraine un vieillement que l’on peut qualifier de réussi avec des perspectives d’avenir rassurantes [« Je ne me reposerai pas tant que des projets importants ne seront pas réalisés » Paul Biya dixit, Maroua, 07 octobre 2025]. Dans cette perspective, l’évaluation axiologique du matériau langagier mobilisé par le candidat Paul Biya, en vue du « Septennat des Grandes Espérances » [slogan de campagne] se révèle ainsi politico-esthétisante et démystificatrice d’un Cameroun décadent [selon certains oppsants]. Dans ce sens, Paul Biya contribue ainsi efficacement à tracer une voie lumineuse pour le développement économique du Cameroun [émergent à l’horizon 2035, en témoignent les récentes inaugurations infrastructurelles et industrielles du Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Joseph Dion Ngute], recherche significativement l’atteinte du paroxysme de la sécurisation/pacification/stabilisation du pays [la pacification des régions anglophones ayant connu des évolutions majeures probantes (en dépit de quelques cas de barbarisme isolés actuels)]. D’éventuels gains sociétaux alléchants s’annoncent donc dans le projet politique de Paul Biya, rappelant avec force d’importantes réformes économiques structurelles [« Le meilleur reste à venir » Paul Biya dixit, Maroua, 07 octobre 2025]. A cet effet, les couches sociétales juvéniles et féminines, adossées sur le bien-être global de la population camerounaise, seront le signe distinctif le plus profond et le plus durable du « Septennat des Grandes Espérances », constituant une clé essentielle de l’inscription du Cameroun dans le cénacle des Émergents à l’horizon 2035. Et pour Paul Biya, la diaspora camerounaise a cette conscience historique de constituer une force capable d’agir dans ce processus d’émergence [la SND30 retrace avec véhémence les lignes directrices devant orienter les efforts et enjeux de leur implication. Il existe d’ailleurs un éventail de mesures viables mises en place par l’État dans l’optique d’exploiter ce potentiel diasporique]. Il sera donc question de déboucher sur un impératif, celui de l’urgence de la mutation paradigmatique des mentalités dans une perspective patriotique de respect des institutions républicaines. Et ceci n’est possible que par un renouvellement de la confiance à Paul Biya, aux fins de poursuite sereine des efforts d’aménagement institutionnel et normatif du rapport État-diaspora.

Au demeurant et sortant du brouhaha populiste d’une opposition morcelée et affaiblie, force est de dire avec conviction que l’Homme d’État Providentiel Paul Biya sera démocratiquement [au regard des soutiens indéfectibles issus des consultations présidentielles élargies exécutées fidèlement, savamment et loyalement par le MINETAT/SGPR, Ferdinand Ngoh Ngoh et l’amour exacerbé du Peuple Électeur Souverain à l’endroit de Paul Biya ] réélu au soir du 12 octobre prochain [des Ultrabiyaïstes comme Jacques Fame Ndongo diront que « C’est Le Seul Capable, il n’y a que Lui et il n’y a personne d’autre »]. Les discours oppositionnels [avec observation d’un tête-à-queue impressionnant de certains leaders] eschatologiques, épidermiques, disproportionnés et aberratifs, vis-à-vis de l’État, de la société camerounaise, du système Biya, de la bureaucratie présidentielle et de l’institution présidentielle, ne sont qu’insipides et étriquées, complètement déconnectées du réel collaboratif actuel d’amour et de confiance totale entre Paul Biya et le Peuple Camerounais Souverain[ dans un militantisme et une alliance politique sincères, conscients et courageux : RDPC, ANDP, PADDEC, UPC, APAR, RP, etc.].

Dr Jean Cottin KOUMA

 

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