En séjour au pays des Lions de la Téranga, le candidat à la présidentielle du 12 octobre 2025 rencontre des compatriotes camerounais et est par la même occasion adoubé par des patriotes sénégalais en quête de souveraineté africaine.
Hiram Samuel Iyodi séjourne au Sénégal depuis quelque temps. A Dakar, capitale du pays des Lions de la Téranga, le jeune candidat à l’élection présidentielle camerounaise d’octobre prochain multiplie des rencontres. « En moins de 24h de séjour, la terre de l’hospitalité a tenu toutes ses promesses. Infinie gratitude à tous mes frères et sœurs patriotes sénégalais. Ensemble, pour la justice sociale et la prospérité partagée ! » a réagi le Secrétaire exécutif du Mouvement patriotique pour la prospérité du peuple (Mp3) sur sa page Facebook après avoir reçu, jeudi 7 août, un chèque de solidarité des mains des patriotes sénégalais engagés sur la voie de la souveraineté africaine. C’était au terme d’un atelier à l’hôtel Al Afifa sur la « Souveraineté et prospérité partagée : quel chemin pour les peuples africains ? ».
Espace de réflexion sur les mutations géopolitiques en cours, la rencontre de Dakar a réuni chercheurs, responsables politiques, acteurs de la société civile et citoyens engagés, autour d’une ambition commune : penser l’avenir de l’Afrique à travers le prisme de la souveraineté réelle et du développement équitable.
Investi par le Front des démocrates camerounais (Fdc), Hiram Samuel Iyodi « a témoigné de son engagement profond envers une vision panafricaine de la souveraineté, fondée sur l’autodétermination, la solidarité régionale et la justice économique », remportent les organisateurs de l’atelier. « Son intervention a su inspirer les échanges, en rappelant que la souveraineté politique ne saurait être dissociée d’une prospérité partagée, inclusive et durable. Il a également souligné l’importance pour les peuples africains de tracer leur propre voie, fondée sur leurs réalités, leurs valeurs et leurs aspirations », ajoutent-ils.
Dans les 12 clés proposées par Hiram Samuel Iyodi pour « révolutionner » le Cameroun, le souverainisme occupe une place de choix.
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