Autour de la thématique centrale « La paix et les droits humains au cœur du développement », représentants du gouvernement, diplomates et société civile se sont réunis pour rappeler une vérité universelle : sans paix, il n’y a ni stabilité, ni développement.
Le conférencier principal a souligné que la paix « n’est pas seulement l’absence de guerre, mais le fruit d’une justice active », évoquant Kofi Annan et Nelson Mandela pour mettre en lumière le lien indissociable entre sécurité, droits humains et progrès social.
La Fondation a dévoilé son plan d’action articulé autour de cinq priorités, notamment, l’éducation à la paix, la prévention des conflits, l’autonomisation des communautés, le plaidoyer pour les droits humains et le suivi des actions sur le terrain.
Les ministères des Sports, de la Santé et des Eaux et Forêts ont salué l’initiative, insistant sur l’importance d’impliquer la jeunesse et les communautés locales, surtout à l’approche des échéances électorales. « On peut être adversaires politiques, mais jamais ennemis », a déclaré un représentant gouvernemental.
Des témoignages venus notamment du secteur de la santé ont rappelé les séquelles des crises passées. « Ceux qui appellent à la guerre n’ont jamais vu les blessés que nous avons dû sauver dans les hôpitaux », a confié un intervenant ému.
Comme le disait Félix Houphouët-Boigny : « La paix n’est pas un mot, mais un comportement. » Plus que jamais, ce principe reste une boussole pour guider le destin du pays.
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