C’était en marge de la cérémonie de remise du certificat de l'Unesco aux chefs traditionnels Sawa par le ministre des Arts et de la culture, Pierre Ismaël Bidoung Mpkwatt samedi 5 juillet 2025,  relatif à l’inscription du Ngondo au patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
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Douala : la ‘’Vallée de la Bessèkè’’ rebaptisée ‘’Boulevard du Ngondo’’

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C’était en marge de la cérémonie de remise du certificat de l’Unesco aux chefs traditionnels Sawa par le ministre des Arts et de la culture, Pierre Ismaël Bidoung Mpkwatt samedi 5 juillet 2025,  relatif à l’inscription du Ngondo au patrimoine culturel immatériel de l’humanité.

La cérémonie de remise du certificat de l’Unesco au Ngondo, désormais inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’humanité, a été un moment inoubliable pour le peuple Sawa.

Dans son discours de circonstance, le ministre des Arts et de la culture, représentant personnel du chef de l’Etat Paul Biya, n’a pas manqué de souligner l’importance de cette reconnaissance internationale qui va sans doute contribuer à la préservation et à la promotion de cette tradition Sawa pour les générations futures.

L’évènement de samedi était la suite logique d’une reconnaissance mondiale intervenue au cours de la 19e session du comité intergouvernemental de l’Unesco le 4 décembre 2024 à Asuncion au Paraguay.

C’était en marge de la cérémonie de remise du certificat de l'Unesco aux chefs traditionnels Sawa par le ministre des Arts et de la culture, Pierre Ismaël Bidoung Mpkwatt samedi 5 juillet 2025,  relatif à l’inscription du Ngondo au patrimoine culturel immatériel de l’humanité.Le Ngondo est un culte des oracles de l’eau célébré chaque année sur les berges du fleuve Wouri à Douala. À travers cette tradition, le peuple Sawa honore sa culture et son identité.

En  marge de la cérémonie de remise du certificat de l’Unesco au Ngondo, un autre temps fort a cristallisé les attentions. Le changement du nom « Vallée de la Bessèkè » en « Boulevard du Ngondo ». Pour le maire de la ville, Dr Roger Mbassa Ndine, ce changement de dénomination consiste à faire de Douala une ville culturelle où tous les habitants se retrouvent.

Aimé Césaire (CP)

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