Les Africains ont jeté à l’eau l’une des sérieuses opportunités qu’offrait les négociations de Copenhague sur le climat.
L’Afrique se concerte et confie au président égyptien le rôle de porte-parole.
Avant la rencontre de Copenhague, le président égyptien fait un voyage à Paris.
Une fois à Copenhague, au point crucial de décision, coup de tonnerre.
Le président Américain, Barack Hussein Obama et le président chinois sont prêts à signer un accord avec l’Afrique.
Mais, une fois autour de la table, ils n’ont pas le porte-parole désigné par le continent noir.
Ce dernier a été remplacé par un porte-plume Sarkozy, président français.
Les négociations échouent lamentablement.
Depuis lors, l’Afrique a t elle appris sa leçon ? Comment donc choisir les négociateurs ? Comment sont ils suivis et accompagnés avant, pendant et après les sommets ?
Nous devons interroger la qualité des choix et processus nationaux, l’intégrité, la dignité des initiatives de cooptation et désignation des acteurs du processus.
Quelle légitimité l’Union européenne et le Partenariat pour les Forêts du Bassin du Congo (PFBC) se donnent et ont dans la représentation des États du bassin du Congo ?
Tant qu’on créera des théâtres pour masquer le piétinement de la souveraineté des États sur la gestion de leurs ressources, nous nous poserons les mauvaises questions.
Partnership is not an option.
We mean Partnership !
Le 23 novembre 2025.
Pierre Chekem
Environnementaliste
Chief Ecological Officer
Partnership
Tel/WhatsApp (237)677779962
Pchekem@gmail.com












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