Dans le cadre de la Journée mondiale de l'Environnement le 5 juin dernier, une cinquantaine de journalistes membres du Syndicat des Professionnels de l'Information et de la Communication (SPIC) se sont joints au maire de cette commune de la région de l'Est Cameroun pour une action citoyenne.
A la UneCamerounSociété

Abong Mbang : la mairie et le SPIC en ordre de bataille contre l’insalubrité

0

Dans le cadre de la Journée mondiale de l’Environnement le 5 juin dernier, une cinquantaine de journalistes membres du Syndicat des Professionnels de l’Information et de la Communication (SPIC) se sont joints au maire de cette commune de la région de l’Est Cameroun pour une action citoyenne.

Armés de sacs poubelles, journalistes et cadres de la commune d’Abong Mbang ont arpenté les artères de cette localité, ramassant des ordures à leur passage. Pour le maire Charmant Oyal, cette action humanitaire permet de « se sentir à l’aise, il faut préserver l’environnement afin d’avoir un corps sain, un esprit sain dans un environnement sain ».

En effet, de nombreux défis restent à relever dans cet arrondissement notamment l’incivisme des populations qui se fait grandissant. Mais l’édile d’Abong Mbang n’entend pas reculer. « Si nous laissons les déchets plastiques s’accumuler avec les ordures, ça va empêcher la dégradation des ordures et entraîner par-là la prolifération des déchets plastiques », a expliqué Charmant Oyal.

Dans le cadre de la Journée mondiale de l'Environnement le 5 juin dernier, une cinquantaine de journalistes membres du Syndicat des Professionnels de l'Information et de la Communication (SPIC) se sont joints au maire de cette commune de la région de l'Est Cameroun pour une action citoyenne.La problématique des déchets plastiques au Cameroun est un défi environnemental majeur qui nécessite une attention particulière. Abong Mbang comme de nombreuses localités du pays, « fait face aux défis de la gestion des déchets urbains dans un contexte de croissance démographique », a ajouté Thierry Eba, président exécutif national du SPIC.

Néanmoins, avec un travail d’ensemble, il est possible de réduire la quantité de déchets plastiques au Cameroun et de promouvoir un environnement plus sain et plus durable.

Tribune libre : pour Louis Marie Kakdeu, cadre du SDF, « c’est inutile de parler de coalition avec des gens qui n’ont rien à mettre dans la balance »

Previous article

Africa Week Series 2025 : selon Kamerfoot.com, des « menaces » pèsent sur son envoyé spécial à Marrakech

Next article

You may also like

Comments

Leave a reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *