A l’initiative de Philippe Stéphane Eloka, l’évènement promeut la culture camerounaise et hisse plus haut ce style musical. Son promoteur a dévoilé ses contours au cours d’un point de presse vendredi 4 avril 2025 à l’Institut Français du Cameroun, antenne de Douala.
Philippe Stéphane Eloka, promoteur de Kossatimes
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Kossatimes : le Makossa renaît de ses cendres

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A l’initiative de Philippe Stéphane Eloka, l’évènement promeut la culture camerounaise et hisse plus haut ce style musical. Son promoteur a dévoilé ses contours au cours d’un point de presse vendredi 4 avril 2025 à l’Institut Français du Cameroun, antenne de Douala.

Ce vendredi 4 avril 2025, l’un des plus vieux rythmes musicaux du Cameroun est au cœur d’un échange dans les locaux de l’Institut Français du Cameroun, antenne de Douala. Né dans les années 60, le Makossa est la star du Kossatimes, un évènement culturel qui promeut le patrimoine culturel camerounais. Le promoteur de cette messe culturelle qui se tiendra en décembre dans une ville du Cameroun,  a expliqué le bien-fondé de ce rendez-vous soutenu par le ministère des Arts et de la culture et la Communauté urbaine de Douala.

« Nous voulons exporter la scène Kossatimes, raison pour laquelle l’Institut Français qui soutient tant bien que mal notre culture ici au pays, nous aide à organiser des vrais concerts à l’international. Nous souhaitons avoir, comme Ben Decca, un concert à l’Olympia ou au Zénith en France et autres. Notre but est d’enrichir notre patrimoine culturel, de faire de grands concerts sur la place publique, de remettre le Makossa au centre de notre intérêt musical. Nous espérons qu’avec l’aide de Dieu, il deviendra un festival », ambitionne Philippe Stéphane Eloka.

Lancé en décembre 2021, le Kossatimes se tient généralement entre Douala et Yaoundé attirant un public fidèle et varié. La première édition a déroulé le tapis rouge à certains artistes musiciens. Notamment Ben Decca et Jacky Kingue lors d’une petite soirée qui a réuni environ 180 personnes. Nono Flavy, Samy Diko, Dina Bell, Toto Guillaume et Yannick Noah ont pris part à la seconde.  Selon Philippe Stéphane Eloka, plus de trois mille personnes ont assisté à la deuxième édition.

Ghislain Ntjam, stagiaire

 

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